L’une des lectrices de Cathy, Christine S., une turbiasque, lui a envoyé ses propres trucs que voici:
nettoyant universel : faites dissoudre quatre cuillères à soupe de bicarbonate de soude dans un litre d’eau chaude.
débouche-tuyaux : versez une demi-tasse de bicarbonate de soude dans le siphon. Ajoutez une demi tasse de vinaigre. Laissez agir 5 minutes puis versez une bouilloire d’eau bouillante.
– Pour un nettoyant vitres et miroirs: du vinaigre blanc dilué dans de l’eau appliqué avec un pulvérisateur pour plante par exemple.
Si vous aussi, vous avez des trucs simples, que vous utilisez, n’hésitez pas !
Un lecteur facétieux nous a envoyé ce cliché qu’il a intitulé: « laturbiemonnuage.fr » . Quoi qu’il en soit, cela montre bien que ce jour-là, ce n’était pas La Turbie qui était dans le brouillard mais bien nos voisins « d’en-bas »!
Merci à ceux d’entre vous qui nous ont transmis des messages d’encouragement. Vous avez été nombreux à lire le premier numéro de notre magazine numérique mensuel « La Turbie, mon village ». Vos suggestions comme vos critiques nous sont précieuses et nos colonnes sont ouvertes à tous, sans exclusive, sans esprit de polémique.
Notre seul objectif est de vous informer, de vous distraire, de vous rendre service
les trois commandements d’un journal de proximité !
Au sommaire de ce deuxième numéro:
Le portrait d’un médecin urgentiste et romancier, Marc MAGRO, dont les parents tenaient le magasin de chaussures « Au pied d’Auguste » dans le village. Rencontre particulièrement riche et émouvante. (afp)
Un droit de réponse qui nous a été transmis par le C.I.S. de La Turbie à la suite de l’article: « Ils ont eu chaud » (A/C Daniel CANDELA)
Marijo NARDINI, une ancienne « instit » de notre école…
Rendons à César (afp)
Un peu d’histoire locale avec le Club bouliste du village (Jean-Claude BARRAL)
Nous étions tous kényans (Séverine FAYE)
Une journée de formation avec le C.I.S. de La Turbie, (Séverine FAYE)
CCAS: « Circulez… il n’y a rien à voir ! (afp)
Humour british (GDLM : un lecteur de Miami !!)
Une recette de cuisine: l’aïoli façon Bruno CIRINO
Les trucs et astuces de Cathy (Cathy BARRAL)
Merveilleuse Juliette (afp)
La photo-mystère
Bonne lecture et n’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires, critiques et suggestions !
afp
Et si vous souhaitez soutenir notre action, adhérez à notre Association « La Turbie, mon village » quel que soit votre lieu de résidence, en remplissant le bulletin téléchargeable ici
Monsieur et Madame MAGRO, ses parents, tenaient le magasin de chaussures “Au pied d’Auguste”, Avenue de la Victoire. Enfant, Marc a fréquenté l’Ecole des Variétés de Monaco, puis le Collège des Franciscains avant d’intégrer, Bac en poche, la Fac de Médecine de Nice, à l’âge de 18 ans. Médecin ostéopathe, il passe un Diplôme Universitaire d’urgentiste, spécialité qu’il exerce depuis 1993, à St. Roch à Nice et à la Palmosa de Menton. Avec toutefois, un passage par la Fac de Lettres pour décrocher, à 30 ans, dans la foulée de la licence, un DESS de Psychologie. Parce que pour Marc, soigner un corps, c’est bien, mais c’est encore mieux quand on sait comment fonctionne la tête…
Ah! Oui! Il a fait, aussi, du théâtre parce que la Comedia del Arte et le psychodrame, ça permet de mieux comprendre la “comédie humaine” de notre quotidien.
Et puis enchaîner les diplômes, finalement ça ressemble à la course de haies, car le sport est également présent dans le quotidien de Marc qui aime nager, marcher, courir, partir à la découverte de nouveaux paysages, de nouveaux pays. Rencontrer les autres. Mais avec un sac à dos, pas en 4×4. Il revient d’une expédition au Pérou, avec deux copains. Authentique épicurien, confronté au quotidien avec la mort, Marc aime la vie, la fête, les amis. Et plus que tout, sa famille : marié, il a quatre enfants.
J’allais oublier, il est aussi Médecin Capitaine des Pompiers niçois…
Un souvenir particulièrement émouvant de ces vingt années de médecine urgentiste?
“Oui ! Le sauvetage d’un enfant de huit ans, tombé dans un tube vertical où il est resté coincé, bras en l’air, hors de portée des sauveteurs en surface… Alors que de très importants moyens matériels et humains étaient déployés, mais impuissants, car ce tube était scellé dans une dalle de béton… L’enfant s’accrochait aux cordes qui lui étaient tendues, mais son corps était coincé et lorsque les sauveteurs tiraient, l’enfant lâchait prise… Et il s’épuisait. Avec des difficultés respiratoires dues aux bras levés…On lui a descendu un masque à oxygène…L’angoisse commençait à devenir insupportable.”Continuer la lecture de LE PORTRAIT DU MOIS : MARC MAGRO, médecin urgentiste.→
A la suite de l’article « Ils ont eu chaud », paru dans le numéro d’Avril de notre magazine, dans lequel il était fait état de témoignages concernant le délai d’intervention des Sapeurs-Pompiers, l’Adjudant-Chef Daniel CANDELA, Adjoint au Chef de Centre du CIS de La Turbie, nous a fait parvenir le communiqué suivant:
» Le premier appel au 112/18 ( seul numéro d’appel d’urgence ) est intervenu 4mn30 après le début d’incendie. Personne n’a appelé auparavant.
La garde incendie était en activité extérieure au moment du début d’incendie. Lorsque qu’elle a été alertée, elle a mis 3 minut
es pour s’équiper et partir. Deux minutes après, le premier message de situation était transmis donc très loin des 20mn.
Evidemment, quand on attend les secours, le temps parait toujours long mais s’ils ne sont pas alertés, ils ne peuvent pas venir.
Le seul et unique numéro à retenir pour alerter les secours est le 112.
Le centre de secours a un numéro administratif pour demander des renseignements mais n’est pas normalement fait pour appeler les secours. Etant dans un village, nous les prenons en compte étant au service de la population. De même pour les numéros de portable des responsables du centre, nous ne sommes pas tous les jours de garde.
Enfin, je pense qu’il serait bon aussi de rappeler que grâce à l’action efficace des sapeurs pompiers et de la police municipale, les bouteilles de gaz n’ont pas été touchées par le feu, pas plus que le transformateur Edf. Par ailleurs, le feu ne s’est pas propagé à la villa contiguë ou à d’autres voitures. Enfin, aucun blessé n’est à déplorer. »
Nous avons rappelé les témoins qui ont tous confirmé leurs premières déclarations. Cela peut s’expliquer de deux manières:
-les témoins ne consultent pas nécessairement leur montre en cas de sinistre, quel qu’il soit. Dès lors, le « temps ressenti » par eux est toujours plus long que le « temps chronométrique », -plusieurs minutes ont été perdues en appelant un numéro inapproprié qui est resté sans réponse:
Le seul et unique numéro à retenir pour alerter les secours est le 112. (numéro européen)
Il est évident que les secours ne pouvaient intervenir… qu’après avoir été alertés. Une leçon est à retirer de cet incident: Le seul et unique numéro à retenir pour alerter les secours est le 112.
NDLR: nous avons pu consulter l’historique informatique du CIS qui décrit, minute par minute, le déroulé de l’intervention, lequel est strictement conforme au communiqué ci-dessus. Dont acte !
Beaucoup d’entre vous, parents et anciens élèves se souviennent de Marijo TAMAGNA NARDINI qui a enseigné à La Turbie de 1999 à 2003, en charge des classes de CP et de CE1. Nous l’avons retrouvée, le 25 Avril, lors de la 6ème édition du Festival du Livre Jeunesse de Beausoleil où elle présentait une BD particulièrement originale: « Les aventures de TIAGO » le tome 1 « Le mystérieux voyage » ainsi que le tome 2 « Arc-en-ciel et Pardon » qui vient de sortir.
Il s’agit d’un projet pédagogique particulièrement intéressant dans la mesure où il a pour ambition de faire progresser des élèves nouvellement arrivés en France dans la maîtrise de la langue française.Tiago, d’origine portugaise est le personnage central de la BD . Il se lie d’amitié avec de jeunes ados de sa classe, Mélanie qui est française, Alexandra qui est italienne et Rafaël qui est anglais. Ces aventures ont été écrites par les élèves eux-mêmes sous la houlette de Marijo. Ce tome 2, « Arc-en-ciel et Pardon » a donc été rédigé par huit élèves de deux écoles de Menton et brillamment illustré par Antoine ASARO.
Ces albums sont bilingues grâce à une feuille intercalaire transparente ce qui permet aux élèves allophones d’approcher la langue française dans des conditions ludiques qui favorisent l’assimilation.
Rédigés en français, ils sont aujourd’hui traduits en portugais, en anglais et en italien et ce projet, né en toute discrétion dans une salle de classe de Beausoleil a pris aujourd’hui une dimension européenne de développement interculturel. Le premier album, franco-portugais, a d’ailleurs permis à quelques élèves de l’école du Careï de faire un voyage scolaire à Maïa, près de Porto, fin Mai 2014, ce qui fut l’occasion d’un bel échange entre ces deux cultures…
A La Turbie plus encore qu’ailleurs, nous devons rendre à César ce qui lui appartient !
Lors du Conseil Municipal du 10 Avril dernier, nous avons assisté, en séance publique, à un échange de propos savoureux entre Monsieur le Maire, Monsieur Herget et Monsieur Gispalou.
Monsieur le Maire annonçant: « Tout ce qui ne va pas bien dans la Commune est la faute du Maire mais tout ce qui va bien est dû à Monsieur Gispalou: la réduction de la facture d’eau, c’est Monsieur Gispalou, la restauration du mausolée du cimetière, c’est Monsieur Gispalou… »
Monsieur le Maire, vous oubliez une action, évidente, que vous devez à Monsieur Gispalou : VOTRE ELECTION !
C’est le sport que les turbiasques ont pratiqué en premier et pendant longtemps.
Entre les deux guerres, le sport « BOULES » s’appelait « Amicale Bouliste » et se jouait au pied du Trophée, près de la maison Asso.
Il y avait alors 4 jeux et une buvette et on jouait à la longue.
Le président était le journaliste Félix LAURENTI. Plus tard, avec l’aménagement de la Place Neuve, le club déménagea près de la dite place et les sociétaires construisirent 3 jeux de longue, en haut, et 2 en-dessous, sur le terrain acheté à la famille BERRO.
Pendant ces travaux les pétanquiers jouaient en-dessous du point de vue du Trophée.
La mairie construisit peu après le Bar des Sports et des jeux privés se créaient au Napoléon et au restaurant Barral.
L’Amicale devient l’UST BOULES puis rejoint en 1965 l’AST générale.
Cette section organisât alors pendant longtemps de grandioses concours de boules sur le terrain de Football construit depuis peu.
Le Grand Prix de La Turbie ou le concours de la Saint Michel en sont des exemples.
La Turbie accueillait alors les « cadors » de la longue de la région et les parties étaient spectaculaires pendant ces journées. On commençait le matin, on continuait l’après midi, et on finissait le soir sous la tente du festin de la Saint Michel pour danser. Certaines équipes étaient d’ailleurs très connues pour être excellentes le matin, moins bonnes l’après midi après le déjeuner souvent bien arrosé et carrément nulles le soir !! Les mystères du sport…
La construction de la plate-forme du parking coupa cette belle dynamique, après quelques années d’occupation devant les écoles, le club bouliste émigra à « L’Amendola ». Le progrès et l’urbanisation ont pris le pas sur le sport et les traditions. Le sport longue a pratiquement disparu, faute de participants. A l’Amendola, l’UST BOULES, s’est transformé en ASCT, les jeux de pétanques ont remplacé les jeux de longue, la pétanque retrouve des couleurs et le club retrouve aussi une sympathique animation, mais les vieilles photos dans le clos, ravivent toujours le souvenir et la nostalgie des « vedettes » d’antan : Les MATTEO, PICCINI, GIOVANETTI, MASSEGLIA, LAMBERT, AGOSTINI, Jules PLEBANI, ALLEMANO, ALBONNETTI, CORSI, Les frères COTTON, LEONELLI, LANTERI, CALZOLLARI, SEVIN, MARTINI, et les jeunes encore actifs PLEBANI frères, MAGNANI, GALOPIN, TAORMINA…
Respect aux Présidents bénévoles qui se sont succédés : LAURENTI, GASTAUD, Félix BARRAL, CAMPERI, IVALDI, Pierrot CORSI, Momo PLEBANI.
Jean-Claude BARRAL
Savez-vous d’où vient l’expression « Faire Fanny » ou « embrasser Fanny » qui s’emploie pour une équipe qui n’a pas marqué un seul point au cours d’une partie?Continuer la lecture de Les boules au village→
Le 8 Janvier, à l’appel de LTMV, nous étions tous Charlie devant la Mairie du village…
Le 8 Avril, à l’initiative du Monaco-Press-Club, nous étions présents au rassemblement, Place d’Armes, en hommage aux 148 étudiants kényans, en majorité catholiques, massacrés dans leur université de Garissa.
L’ACCIDENT ? NON CELA N’ARRIVE PAS QU’AUX AUTRES !
Presque 20.000 morts par an à cause des accidents domestiques, 11 millions d’accidents de la vie courante chaque année en France…
C’est à partir de ce constat et à la demande de M. le Maire que le Service Départemental d’Incendie et de Secours vient de réaliser une nouvelle session d’Information Préventive aux Comportements qui Sauvent (IPCS) à laquelle nous avons été invités comme l’ensemble des élus et du personnel communal.
Pour cela nous sommes retournés… à l’école ! Sagement assis à la place des enfants: Jean-Jacques RAFFAELE Maire, Hélène GROUSELLE Adjointe, Liliane CLOUPET Adjointe, Josette DALUZEAU, André-François PELLEGRIN et moi-même, Conseillers municipaux du Groupe « La Turbie, mon village ». Journée d’information à ne pas confondre avec une formation en secourisme, cette information en petits groupes a été réalisée par deux Sapeurs-Pompiers professionnels, l’Adjudant-Chef Daniel CANDELA du C.I.S. de La Turbie et l’Adjudant-Chef Fernand MASSA du C.I.S. de Menton.
Elle nous rappelle que dans l’attente des secours, les informations utiles de base et le simple bon sens nous permettent d’éviter de céder à la panique en adoptant quelques attitudes et gestes déterminants :
– De la théorie…
Il est fondamental de prendre conscience des risques et dangers qui nous entourent lorsque « tout va bien », afin de les minimiser (si possible) et d’anticiper au maximum les situations dramatiques lorsqu’elles arrivent. La prévention passe par la connaissance des lieux dans lesquels on vit (ou l’on travaille), un bref repérage des lieux dans lesquels on se rend, la connaissance des moyens de secours à notre disposition.
Et si l’accident survient, que faire ? Connaissez-vous les numéros des secours à appeler ?
NOTEZ VITE CE NUMERO EUROPEEN : le 112 !
En cas de problème de santé, vous pouvez également composer directement le 15 (SAMU), car vous aurez en ligne un médecin urgentiste régulateur qui déclenchera le moyen d’intervention et le conseil les plus adaptés au cas présent.
– … A la pratique !
Si la matinée de cette journée d’information était consacrée à la théorie, l’après-midi, nous avons été confrontés aux exercices pratiques ! Comment sortir d’une pièce en feu et pleine de fumée ? Comment pénétrer et évacuer une victime d’une pièce en feu ? Comment se servir d’un extincteur? Comment utiliser un défibrillateur?
A ces accidents domestiques, s’ajoutent, hélas, les risques majeurs, qu’ils soient naturels: (séismes, éruptions volcaniques, tsunamis, ouragans), technologiques (nucléaires, rupture de barrages) ou encore sociologiques, (terrorisme, attentats)
CONCLUSION DE LA JOURNEE ?
Comme vous peut-être, nous pensions savoir… Et nous nous sommes aperçus… que nous avions beaucoup à apprendre ! Cela nous a donné l’idée de proposer au responsable du C.I.S de La Turbie, de mettre nos colonnes à sa disposition afin de diffuser plus largement auprès de nos lecteurs, l’information que nous avons reçue.