Les carrières romaines à La TURBIE- 1ère partie. (André Franco)

Sur le Plan-Guide officiel de 2014, édité par le Service Culture et Communication de la Commune, le site dénommé actuellement « Carrières romaines » ainsi que la Chapelle St. ROCH et le JUSTICIER sont parfaitement délimités et les conditions d’accès clairement établies. A partir de la place Théodore de Banville, soit par le Chemin de Fontvielle et le Chemin de Saint Roch d’une part, soit par la route de Menton et la route de Beausoleil, d’autre part. Point de ralliement obligatoire: au tournant de la route de Beausoleil, la Chapelle Saint-Roch.

Maintenant notre travail d’historien commence.

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Si je restais dans la suite de « Turbia d’un Temp » j’éviterais d’utiliser le vocable « Carrières romaines », car nos anciens ne parlaient que de Saint-Roch, de Justicier. Pour la connaissance de la communauté turbiasque nous avons un document de référence: le « Registro » de 1702, le cadastre, cote 3E67/14, déposé aux Archives départementales. A l’époque, le duc de Savoie Victor-Amédée II avait confié à l’Intendant général du « contado de Nizza », Jacques Méllarède, en vue de l’imposition le relevé des biens de chaque habitant, Dans chaque communauté il était établi sous la responsabilté des deux « sindici » en exercice.

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Pour La Turbie les deux syndics mentionnaient en préambule pour définir leurs biens fonciers: « Un territorio di ruppi e di sassosi de quasi ne un valore ». (Un territoire de rochers et de pierres de pratiquement aucune valeur.) C’était pour l’imposition! Hommes de bon sens nos anciens…. !!!

Merci André! La suite de cette étude paraîtra dans les numéros de Juillet d’ Août de LTMV Mag.

NDLR. André FRANCO a publié aux Editions SERRE: « La Turbie, le Trophée et le laurier » et « La Turbie, passé et avenir » en collaboration avec Sophie DOURS

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